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Association Francaise des Personnes Affectées par le Syndrome des Jambes Sans Repos

Charge martiale cérébrale chez l’enfant présentant un Syndrome des Jambes sans Repos
Etude « cas-contrôle » par Imagerie par Résonance Magnétique
Coordinateur du projet : Eric Konofal (Centre Pédiatrique des Pathologies du Sommeil, Hôpital Robert Debré, PARIS)
Responsable scientifique et technique : Guy Sebag
Aide Financière demandée à l’AFSJR :9 750 €


La physiopathologie du SJSR demeure encore inconnue, toutefois, plusieurs études ont suggéré l’implication de circuits dopaminergiques dans le dysfonctionnement.
Récemment, différents groupes de recherche ont rapporté l’existence une comorbidité entre Syndrome des Jambes sans Repos (SJSR) et Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH) . Cette comorbidité pourrait être soit liée au dysfonctionnement dopaminergique commun soit subséquente à une dysrégulation du métabolisme central du fer.
L’existence d’une carence martiale centrale pourrait être l’origine du SJSR. De récentes études d’imagerie tendent à le confirmer chez l’adulte. L’existence d’une carence martiale centrale dans l’étiologie du TDAH n’est pas documentée.

D’une part, parce qu’il apparaît difficile de savoir si cette carence martiale (ou dysfonctionnement du fer cérébral) est déjà présente avant l’apparition des premiers symptômes de SJSR, et d’autre part parce que le SJSR pourrait être (chez l’enfant) considéré comme un continuum clinique vespéral du TDAH, nous proposons d’évaluer la charge martiale centrale d’enfants présentant un TDAH avec ou sans SJSR.
Actuellement, il n’ y a aucune étude dont l’objectif a été d’évaluer la charge martiale au niveau cérébral

Notre étude, dont l’objectif est de montrer qu’il pourrait exister des différences quantitatives décelable par IRM entre des enfants présentant un TDAH avec SJSR comparés à des enfants sans SJSR, appariés sur le sexe et l’âge pubertaire devrait être une avancée considérable tant sur le plan physiopathologique qu’étiologique.

Les résultats de cette étude pourraient également argumenter l’idée selon laquelle la supplémentation martiale pourrait jouer un rôle protecteur dans le développement du SJSR

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